UMR7533

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Tércio Joaquim Davis D’Ambanguine

Doctorant
Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis
École doctorale Sciences Sociales

Année de première inscription : 2014
Année de soutenance prévue : 2023

Géographie

Master d’origine : Études africaines
Directrice de thèse : Bezunesh Tamru

THÈMES DE RECHERCHE DÉVELOPPÉS

 

    • Globalisation financière
    • Politiques monétaires
    • Crises financières
    • Réglementation bancaire

 

MOTS-CLÉS

risques d’inondations ; représentations ; perceptions ; vulnérabilité


TITRE DE LA THÈSE

Représentations du risque d’inondation dans la vallée du Limpopo Mozambicain : Retour d’expériences.


RÉSUMÉ DE LA THÈSE

Le Mozambique est un pays souvent touché par les inondations. Au cours des 20 dernières années, plus de 8 millions des mozambicains ont été touchés par des catastrophes naturelles. Les inondations au Mozambique sont responsables pour 70% des déplacements de populations et d’un tiers des dommages économiques subis pendant ces 20 ans (INGC et al, 2003).


La vallée du Limpopo est également l’une des régions touchées par les inondations. Les années1954, 1977, 2000 et 2013 a été affecté par les inondations nonobstant les avantages qu’elles entrainent dont, principalement le renouvellement des sols pour l’agriculture qu’est la garantie de vie des populations vivant dans la vallée qui depuis les temps ont un lien avec la vallée basée surtout par des croyances dont l’agriculture, l’élevage et les migrations pour les mines de rand à l’Afrique du Sud.


Le scénario des graves inondations s’est répète une fois de plus en 2013. Ces inondations ont entrainé à la morte d’une centaine de personnes, milliers de déplacées au-delà des dommages causés au secteur agricole et affecter psychologiquement les populations touchées. Due le risque des inondations qui s’est matérialisé en catastrophe le gouvernement a mis en place une politique que consiste à déplacer définitivement les populations touchées vers nouvelles villages. Toutefois, les populations sont revenues dans les régions habituelles « jugées » à risque.


Cette thèse porte sur la façon dont la politique de déplacement de populations au Limpopo est objet de différents événements parfois médiatiques, culturels, sociaux, politiques. Comment sont-ils perçus par les acteurs locaux, comment ces derniers les représentent et la manière dont ils les vivent. Le présent travail se focalise surtout à la compression des perceptions et des représentations du risque soit savantes soit vernaculaires dans la vallée du Limpopo pour essayer d’analyser les raisons du retour systématique des populations déplacées pour les zones habituelles.